FethiDiMassinissa
2003-11-23 00:17:48 UTC
Salu-tutti,
mais ATTENTION aux jeux des B-FLN-B ils sont kif-kif ....
ils veulent detourner leur crimes, vols et viols depuis 40 ans á
maintenant.....
LE PEUPLE ALGERIEN DOIT SORTIR DANS DANS LES RUES D'ALGERIE POUR EXIGER UNE
AUTRE ALGERIE
LE FLN ET LA LIBERTE D'EXPRESSION / Le censeur censuré
Le porte-parole du FLN, Abdeselam Medjahed, a rendu publique dernièrement
une lettre adressée au directeur général de la télévision pour protester
contre la couverture des «activités illégales» du mouvement de redressement
de Bouteflika- Belkhadem. M. Medjahed dénonce le fait que la télévision
«assure (.) une large couverture médiatique aux activités d'un groupe de
personnes sous le couvert d'un prétendu mouvement de redressement du FLN
alors même que ces personnes font l'objet d'une plainte (.)».
Le FLN, montant sur ses grands chevaux, sort même la défense des grands
principes : «Le fait pour le service public de la télévision nationale de
diffuser les activités et déclarations de ce mouvement illégal constitue une
violation de la loi et une atteinte aux règles de l'éthique régissant la
profession journalistique.» L'ex-parti unique s'offusque encore : «Fait plus
grave, l'ENTV a été jusqu'à présenter les agissements de ces personnes comme
émanant du parti du FLN, et ce, en affichant à l'écran le sigle du parti
chaque fois que des informations les concernant étaient rapportées» Comme
des fleurs de caniveau, avec une candeur oublieuse de quarante années
d'ostracisme et d'interdits, les actuels dirigeants de l'ex-parti unique
croient émouvoir l'opinion en criant au viol. Dès son arrivée au pouvoir,
Bouteflika a fait comprendre à tout le monde que la télévision et la radio
«c'est lui». Le FLN et l'ensemble de ses dirigeants ne trouvèrent rien à
redire. Il en fut ainsi tant que Bouteflika et le FLN s'entendaient comme
larrons en foire. Faudrait-il rappeler qu'il n'y a pas bien longtemps,
l'actuel secrétaire général du FLN, M. Benflis, bénéficiait avec son parti
d'un favoritisme médiatique outrancier alors que la majorité des franges de
la société politique et civile étaient pratiquement interdites d'expression
par les commanditaires du même directeur de la télévision. Tout un chacun
sait pourquoi MM. Benflis, Medjahed, Belayat et consorts n'ont jamais pipé
mot sur l'accaparement des organes d'information jusqu'au moment de leur
passage à l'opposition. D'ailleurs, lorsque se présenta la grande occasion
de défendre la liberté d'expression, l'éthique, la déontologie et autres
règles de la profession journalistique, les députés du FLN, sans exception,
se rangèrent comme de petits soldats bêtes et méchants pour adopter le
sinistre projet de révision du Code pénal qui donnait au pouvoir infiniment
plus de moyens pour assassiner la liberté d'expression. Aujourd'hui, le FLN
est dans le piège qu'il avait tendu avec d'autres dans le but d'empêcher l'
expression des Algériens. Que faut-il en penser et que faire ? Pour ceux qui
croient qu'il n'y a pas d'autre alternative que celle consistant à défendre
les libertés fondamentales. Aussi est-il du devoir de la société de défendre
la liberté d'expression, y compris lorsqu'elle bénéficie à des acteurs
politiques aussi retords que les dirigeants du FLN.
Par Ahmed Ancer
http://www.elwatan.com/journal/html/2003/11/23/sup_html.htm
mais ATTENTION aux jeux des B-FLN-B ils sont kif-kif ....
ils veulent detourner leur crimes, vols et viols depuis 40 ans á
maintenant.....
LE PEUPLE ALGERIEN DOIT SORTIR DANS DANS LES RUES D'ALGERIE POUR EXIGER UNE
AUTRE ALGERIE
LE FLN ET LA LIBERTE D'EXPRESSION / Le censeur censuré
Le porte-parole du FLN, Abdeselam Medjahed, a rendu publique dernièrement
une lettre adressée au directeur général de la télévision pour protester
contre la couverture des «activités illégales» du mouvement de redressement
de Bouteflika- Belkhadem. M. Medjahed dénonce le fait que la télévision
«assure (.) une large couverture médiatique aux activités d'un groupe de
personnes sous le couvert d'un prétendu mouvement de redressement du FLN
alors même que ces personnes font l'objet d'une plainte (.)».
Le FLN, montant sur ses grands chevaux, sort même la défense des grands
principes : «Le fait pour le service public de la télévision nationale de
diffuser les activités et déclarations de ce mouvement illégal constitue une
violation de la loi et une atteinte aux règles de l'éthique régissant la
profession journalistique.» L'ex-parti unique s'offusque encore : «Fait plus
grave, l'ENTV a été jusqu'à présenter les agissements de ces personnes comme
émanant du parti du FLN, et ce, en affichant à l'écran le sigle du parti
chaque fois que des informations les concernant étaient rapportées» Comme
des fleurs de caniveau, avec une candeur oublieuse de quarante années
d'ostracisme et d'interdits, les actuels dirigeants de l'ex-parti unique
croient émouvoir l'opinion en criant au viol. Dès son arrivée au pouvoir,
Bouteflika a fait comprendre à tout le monde que la télévision et la radio
«c'est lui». Le FLN et l'ensemble de ses dirigeants ne trouvèrent rien à
redire. Il en fut ainsi tant que Bouteflika et le FLN s'entendaient comme
larrons en foire. Faudrait-il rappeler qu'il n'y a pas bien longtemps,
l'actuel secrétaire général du FLN, M. Benflis, bénéficiait avec son parti
d'un favoritisme médiatique outrancier alors que la majorité des franges de
la société politique et civile étaient pratiquement interdites d'expression
par les commanditaires du même directeur de la télévision. Tout un chacun
sait pourquoi MM. Benflis, Medjahed, Belayat et consorts n'ont jamais pipé
mot sur l'accaparement des organes d'information jusqu'au moment de leur
passage à l'opposition. D'ailleurs, lorsque se présenta la grande occasion
de défendre la liberté d'expression, l'éthique, la déontologie et autres
règles de la profession journalistique, les députés du FLN, sans exception,
se rangèrent comme de petits soldats bêtes et méchants pour adopter le
sinistre projet de révision du Code pénal qui donnait au pouvoir infiniment
plus de moyens pour assassiner la liberté d'expression. Aujourd'hui, le FLN
est dans le piège qu'il avait tendu avec d'autres dans le but d'empêcher l'
expression des Algériens. Que faut-il en penser et que faire ? Pour ceux qui
croient qu'il n'y a pas d'autre alternative que celle consistant à défendre
les libertés fondamentales. Aussi est-il du devoir de la société de défendre
la liberté d'expression, y compris lorsqu'elle bénéficie à des acteurs
politiques aussi retords que les dirigeants du FLN.
Par Ahmed Ancer
http://www.elwatan.com/journal/html/2003/11/23/sup_html.htm