anonymous
2004-09-27 19:47:23 UTC
UN LIVRE ESPAGNOL ACCUSE
«Les services marocains ont organisé les attentats de Madrid»
Voila ce qu'on appelle un traitement empirique d'une maladie«Les services marocains ont organisé les attentats de Madrid»
indiagnosticable
dont on ne connait absolument rien la-dessus par un charlatan diplome' ,
qualifie'.
Les accusations de crimes sont plus complexes que ne le pense l'auteur du
livre.
Les theories si correctes soient-elles ne constituent pas des preuves
legales.
Toute preuve qui n'est pas materielle n'est pas tenue en consideration par
le/les juges.
Je sais que tu es un idiot predispose` a croire tous les mensonges que les
ennemis du Maroc
propagent par tous les moyens pour essayer de noircir l'image de notre pays
parce qu'ils sont payes pour le faire .
Bien sur que l'auteur inconnu de ce livre a identifie`par ses propres
moyens, seul, par ses dons extra lucides et par son imagination fertile le
ou les auteurs de ce crime comme la machine des services americains de
securite avaient "identifie'" sans aucune erreur possible l'auteur de
l'assassinat de JF. Kennedy dont on parle dans les medias de temps en temps
et jusqu'a nos jours apres plus de 40 ans de son assassinat.
Ce livre dont tu parles c'est du sensationalisme pure et simple elabore`
pour stimuler l'interet d'un public avide de scandales , ce livre est concu
pour choquer,calcule' a l'avance pour plaire a une clientele au gout
vulgaire (exactement comme les journaux a sensation ( tabloids) qui
comptent sur tout ce qui n'est pas scientifique pour maintenir leur
circulation ).On en sait quelque chose au Maroc sur ces journaux inveteres
et impenitents specialises dans les "tabloids ".
L'auteur est un opportuniste malhonnete qui ne peut pas etre de bonne foi .
Son but est de decevoir pour essayer de vendre son livre pour faire du
poignon comme n'importe quel autre escroc ;et en meme temps diffamer
gratuitement le Maroc tout en etant totalement depourvu de la moindre
preuve tangible au meme niveau
que les enqueteurs officiels....
Personne, je dis personne ne peut connaitre le ou les auteurs d'un
crime avant la conclusion de l'enquete par les services officiels de l'etat
.
Eux seuls sont au courant des progres des investigations et la loi leur
interdit de reveler le moindre detail sur ce qu'ils font ou ne font pas
car legalement , l'enquete est secrete et malheur a celui qui divulgue le
moindre de ses details. Donc, apres cette clarification , ton auteur du
livre est toujours dans le noir le plus
complet et que pour ecrire ce livre et accuser il a du^ uniquement avoir
recours a son imagination et a la methode de visualisation pour deviner ce
qui s'etait reelement paSSE` entre la victime et le ou les assassins pour
en tirer ses conclusions defintives sans laisser aucune voie de recours
entr'ouverte au lecteur..
Or tout le monde sait cette enquete qui dure plus de 48 heures et plus
de 96 heures n'aboutira ,selon toute apparence ,a aucun resultat positif du
fait qu'aucune trace ou empreinte digitale ou de l'ADN pouvant l'orienter
convenablement n''a ete releve' sur la scene du crime par les responsables
.
Il faut plus qu'un livre pour accuser, il faut absolument des empreintes
digitales
ou celles de l' ADN ou des temoins oculaires, ou la carte d'identite de
l'auteur,ou son sang, ou un poil, ou un objet particulier lui appartenant
portant ses traces.... laisse` sur la scene du crime...... pour identifier
le ou les auteurs
d'un crime . Il faut absolument etre en possession au moins de l'une de ces
preuves precitees pour pouvoir accuser n'importe qui quand les
investigateurs
cherchent bien la verite et non pas a faire de l'argent ,diffamer ou
faire du mal a quelqu'un /quelques uns. . Pour faire le couscous , il faut
absolument etre en possession
de l'ingredient principal qu'on appelle semoule ou ses derives en grains
equivalant a'
la preuve materielle en matiere de crime ou de n'importe quelle violation
de la loi.
Sans cet ingredient la semoule , on ne peut pas appeler ce qu'on prepare
couscous
comme on ne peut pas appeler auteur ou auteurs d'un crime quand on n'est pas
en possession de preuve/preuves materielles qui ne laissent aucun dout dans
la pensee des enqueteurs et des juges ..
. C'est seuelement avec ces derniers instruments de la conviction qu'on
accuse, qu'on mesure la gravite du crime et
ses ramifications, qu 'on juge et qu'on condamne un prevenu. (Remarque :
Dans beaucoup de pays democratiques la loi interdit de designer un suspect
ou un prevenu ou un mis en cause dans un crime par son nom ,
prenom,pseudonyme, alias, et meme par le terme auteur ou auteurs de crime
etc... avant qu'il ne soit/soient juge' /juge's et condamne'/condamne's
definitivement.on doit se referer a l'auteur dans les ecrits par prevenu,
suspect, ou mis en cause....
Je suis certain que cette loi existe aussi en Espagne comme elle existe au
Maroc et ailleurs .
Et j'espere que les autorites espagnoles repriment immediatement cette
violation de la loi qui nuit au Maroc si elle (L'espagne) a la
clairvoyance de voir les lois marocaines appliquees dans l'avenir quand l'
auteur d'un livre ou un journaliste, ou un speaker a la radio ou a la tele'
stimule' par la passion du lucre viole cette loi aux depens de l'Espagne.
Que cet element appele' preuve ou preuves palpables manquent et vous
n'avez que du vent ,des speculations, des blahblahblahs , de la foutaise ,
des bavardages,des tabloids,
des commerages ....aux journaux, a la tele et a la radio pour vendre aussi
de la publicite avec le crime .
Ce beau monde pleins d'idiots est un champ fertile qui donne naissance a
beaucoup de psychiques clairvoyants (pour les exploiter) qui croient a
travers les meditations et les revelations par le moyen de la perception
extra sensorielle transcender la realite ordinaire humaine .(;D-
Et pourtant la P.E.S ou (Extra Sensorial Perception en Anglais ) est
reconnue par certains hommes de sciences comme etant une science exacte , je
ne connais pas le motif pour lequel ils Sont descenduS si bas (;D -
Ah Ces hommes NES ne's pour tromper et se laisser tromper !!!!
Ah! si la maladie mentale de l'idiotie tuait.!! Le malheur c'est que les
idiots vivent plus
longtemps que les HOMMES NORMAUX car ils economisent durant toute leur
vie toutes leurs energie etant naturellement programmes pour eviter de
faire le moindre petit effort mental.
Bref!!Seuls les services de securite et les magistrats charges de l'enquete
sont en mesure d'identifier plus ou moins correctement le ou les suspects
de ce meurtre et de denouer d'une maniere plus ou moins acceptable
le mystere enveloppant ses causes du fait qu'ils n'ont sous la main
jusqu'a present ni le / les auteurs ni aucun temoin oculaire des faits
et que tout ce qu'ils peuvent dire sur cette affaire ne sont autres choses
que des
therories et des speculations qui n'ont aucune valeur legale ou
incriminante comme preuves
irrefutables pouvant conduire a la condamnation du ou des accuses.
A cette phase de l'enquete quiconque allege avoir identifie` le ou les
auteurs du meurtre (sauf les enqueteurs officiels et les autres magistrats
charges de l'enquete) n'est qu'un menteur,un trompeur ou un manipulateur
de l'opinion
qui simplifient les choses en essayant de convaincre le lecteur que ses
speculations et sews delires sont des faits tangibles.( Seul un
communique` du gouvernement espagnol ou de son representant officiel est
capable de me convaincre de l'identite du ou des auteurs de ce meurtre et
personne d'autre soit -il Tuquioi du journal (le Monde fr.) -
Seuls les ennemis du Maroc trouvent du confort dans les theories qu' invente
l'auteur du livre ne reposant sur aucun fait materiel constate` sur le lieu
du crime. Seuls les ennemis du Maroc sont disposes a le croire ainsi que
les cretins et les handicapes mentaux car ces derniers n'exigent pas comme
les hommes sains d'esprit et les juges qu'on leur presente d'abord des
preuves materielles et des pieces a conviction avant de commencer n'importe
quelle action judiciaire . Ces innocents croient leur espece sur parole et
rien d'autre , et ca leur siffit pour les convaincre . Voila pourquoi
jusqu'a present personne n'a ete presente' au tribuanl apres plusieurs
semaines d'enquete qui continue toujours et continuera certainement dans
les annees a venir faute de preuves et malgre toutes les accusations qu'on
jette de droite et a gauche contre le Maroc par les medias et les ecrivains
.
Tous les enqueteurs savent par experience que si le ou les auteursd'un crime
etc.. ne sont pas identifie`s dans les 48 heures suivant le crime, ils ne
le seront probablement jamais.
I close my argument./.
La sortie du livre «11M, la vengeance» de Casimiro Garcia-Abadillo,
directeur adjoint du quotidien espagnol «El Mundo», a mis le feu aux
poudres au Palais royal. Le journaliste qui a mené l'enquête sur les
attentats du 11 mars dernier à Madrid accuse les services secrets
marocains d'avoir téléguidé les terroristes du GICM.
La conversation avec le monarque alaouite était très dure. Piqué a dû
écouter durant presque une heure ses reproches à la politique
espagnole sur des divers thèmes: demande de sanction de l'UE pour le
non renouvellement de l'accord de pêche, inflexibilité sur le
contentieux du Sahara, durcissement de la loi de l'immigration, le Roi
était aussi gêné par le traitement que lui réservait la presse
espagnole (...) l'Espagne pourrait être victime du terrorisme
islamiste», rapporte Casimiro Garcia-Abadillo dans son livre en
décrivant la conversation tendue entre le roi Mohamed VI et l'ancien
ministre espagnol des Affaires étrangères. Pour l'auteur du livre le
plus documenté sur les attentats terroristes du 11 mars à Madrid qui
ont fait 92 morts, le Maroc est responsable, via ses services secrets,
du massacre qui a ébranlé l'Espagne et déroule, tout au long de cette
enquête qui a duré plusieurs mois, les motifs qui auraient conduit le
Maroc à frapper son voisin ibérique.
Alors que le gouvernement Zapatero et Mohamed VI filent la parfaite
lune de miel, le livre du directeur adjoint d'El Mundo vient apporter
un bémol à la prétendue coopération hispano-marocaine dans la lutte
antiterroriste. En parallèle de l'enquête du juge antiterroriste
espagnol Baltasar Garzon qui a bouclé l'affaire par l'arrestation de
22 terroristes du GICM, liés à Al-Qaïda, l'enquête du journaliste
espagnol est plus directe dans son argumentaire.
Pour l'auteur, les services secrets marocains n'ont jamais admis
l'humiliation de l'île de Perejil lorsque l'occupation de ce rocher,
grand comme un terrain de football, par des militaires marocains avait
provoqué un état d'alerte espagnol et la pire crise politique et
sécuritaire entre le Maroc et l'Espagne: «Cette invasion sera la
raison pour laquelle les services marocains allaient décider de se
venger de l'Espagne», indique le journaliste dans «11M, La Venganza»
édité par les éditions «La Esfera de los Libros» et qui est devenu en
l'espace d'une semaine une des meilleures ventes en Espagne.
Le journaliste espagnol a basé une partie de son enquête sur des
rapports secrets du CNI (centre national d'intelligence), les services
secrets espagnols, dont une source spécialisée du Maghreb a fourni
l'essentiel de la documentation. Pour cette source: «Après l'incident
de Perejil (îlot Leïla), les services secrets espagnols s'attendaient
à une réplique du côté marocain. Ils l'appelaient «La vengeance
marocaine». Lorsque les attentats ont eu lieu, les services espagnols
ont immédiatement estimé qu'il s'agit de la vengeance redoutée», écrit
le journaliste.
L'auteur du livre rapporte quelques révélations gênantes pour les
services marocains comme le voyage du patron de la DST, le général
Hamidou Laanigri, à Madrid, le 28 mars, pour offrir son aide aux
services espagnols du fait que les commanditaires de l'attentat sont
tous Marocains: «Assis à côté de Di Mira (le chef des services secrets
espagnols), le général Laanigri porta sa main à son veston et retira
de sa poche un bout de papier dans lequel était inscrit: gare
d'Alcala, 7 heures». Soit exactement le lieu et l'heure de l'attentat
qui ont été griffonnés sur un papier par un islamiste marocain arrêté
à Tanger et que la DST marocaine n'a pas cru bon d'en informer son
homologue espagnol. L'auteur accuse les services marocains d'avoir
procédé en Espagne et au Maroc à une série de liquidations de
terroristes liés à la GICM et aux attentats sans en informer les
services espagnols «comme pour effacer les traces des auteurs»,
indique l'auteur citant les noms de Mohamed Haddad, Hicham Ahmidene,
Al Gharbouzi et Mejati. Ce dernier a été balancé aux Espagnols, trois
jours avant les attentats, sans raisons, pour que les Espagnols ne
soupçonnent pas les Marocains. L'auteur révèle aussi que les
kamikazes de Leganes avaient appelé des portables au Maroc qui se
refuse jusqu'à aujourd'hui de dire à quelles personnes appartenaient
les numéros de téléphone.
Le livre fourmille de détails sur le parcours des terroristes du GICM
dont les principaux auteurs des attentats se sont suicidés à Leganes
lors d'une opération antiterroriste espagnole. Il évoque les
incohérences liées à la filature de certains terroristes fichés au
Maroc et qui évoluaient librement à Madrid dans les réseaux d'Abou
Dahdah, le coordinateur d'Al-Qaïda en Espagne arrêté en 2002. Ce livre
choc, descendu en flammes comme il se doit par la presse marocaine,
livre la thèse majeure que si le Maroc a organisé ou, au mieux, a
laissé faire les attentats de Madrid, c'est qu'il serait le premier à
tirer profit du changement du gouvernement Aznar qui s'est passé le 14
mars au profit de Zapatero, proche des Marocains.
Mounir B.
directeur adjoint du quotidien espagnol «El Mundo», a mis le feu aux
poudres au Palais royal. Le journaliste qui a mené l'enquête sur les
attentats du 11 mars dernier à Madrid accuse les services secrets
marocains d'avoir téléguidé les terroristes du GICM.
La conversation avec le monarque alaouite était très dure. Piqué a dû
écouter durant presque une heure ses reproches à la politique
espagnole sur des divers thèmes: demande de sanction de l'UE pour le
non renouvellement de l'accord de pêche, inflexibilité sur le
contentieux du Sahara, durcissement de la loi de l'immigration, le Roi
était aussi gêné par le traitement que lui réservait la presse
espagnole (...) l'Espagne pourrait être victime du terrorisme
islamiste», rapporte Casimiro Garcia-Abadillo dans son livre en
décrivant la conversation tendue entre le roi Mohamed VI et l'ancien
ministre espagnol des Affaires étrangères. Pour l'auteur du livre le
plus documenté sur les attentats terroristes du 11 mars à Madrid qui
ont fait 92 morts, le Maroc est responsable, via ses services secrets,
du massacre qui a ébranlé l'Espagne et déroule, tout au long de cette
enquête qui a duré plusieurs mois, les motifs qui auraient conduit le
Maroc à frapper son voisin ibérique.
Alors que le gouvernement Zapatero et Mohamed VI filent la parfaite
lune de miel, le livre du directeur adjoint d'El Mundo vient apporter
un bémol à la prétendue coopération hispano-marocaine dans la lutte
antiterroriste. En parallèle de l'enquête du juge antiterroriste
espagnol Baltasar Garzon qui a bouclé l'affaire par l'arrestation de
22 terroristes du GICM, liés à Al-Qaïda, l'enquête du journaliste
espagnol est plus directe dans son argumentaire.
Pour l'auteur, les services secrets marocains n'ont jamais admis
l'humiliation de l'île de Perejil lorsque l'occupation de ce rocher,
grand comme un terrain de football, par des militaires marocains avait
provoqué un état d'alerte espagnol et la pire crise politique et
sécuritaire entre le Maroc et l'Espagne: «Cette invasion sera la
raison pour laquelle les services marocains allaient décider de se
venger de l'Espagne», indique le journaliste dans «11M, La Venganza»
édité par les éditions «La Esfera de los Libros» et qui est devenu en
l'espace d'une semaine une des meilleures ventes en Espagne.
Le journaliste espagnol a basé une partie de son enquête sur des
rapports secrets du CNI (centre national d'intelligence), les services
secrets espagnols, dont une source spécialisée du Maghreb a fourni
l'essentiel de la documentation. Pour cette source: «Après l'incident
de Perejil (îlot Leïla), les services secrets espagnols s'attendaient
à une réplique du côté marocain. Ils l'appelaient «La vengeance
marocaine». Lorsque les attentats ont eu lieu, les services espagnols
ont immédiatement estimé qu'il s'agit de la vengeance redoutée», écrit
le journaliste.
L'auteur du livre rapporte quelques révélations gênantes pour les
services marocains comme le voyage du patron de la DST, le général
Hamidou Laanigri, à Madrid, le 28 mars, pour offrir son aide aux
services espagnols du fait que les commanditaires de l'attentat sont
tous Marocains: «Assis à côté de Di Mira (le chef des services secrets
espagnols), le général Laanigri porta sa main à son veston et retira
de sa poche un bout de papier dans lequel était inscrit: gare
d'Alcala, 7 heures». Soit exactement le lieu et l'heure de l'attentat
qui ont été griffonnés sur un papier par un islamiste marocain arrêté
à Tanger et que la DST marocaine n'a pas cru bon d'en informer son
homologue espagnol. L'auteur accuse les services marocains d'avoir
procédé en Espagne et au Maroc à une série de liquidations de
terroristes liés à la GICM et aux attentats sans en informer les
services espagnols «comme pour effacer les traces des auteurs»,
indique l'auteur citant les noms de Mohamed Haddad, Hicham Ahmidene,
Al Gharbouzi et Mejati. Ce dernier a été balancé aux Espagnols, trois
jours avant les attentats, sans raisons, pour que les Espagnols ne
soupçonnent pas les Marocains. L'auteur révèle aussi que les
kamikazes de Leganes avaient appelé des portables au Maroc qui se
refuse jusqu'à aujourd'hui de dire à quelles personnes appartenaient
les numéros de téléphone.
Le livre fourmille de détails sur le parcours des terroristes du GICM
dont les principaux auteurs des attentats se sont suicidés à Leganes
lors d'une opération antiterroriste espagnole. Il évoque les
incohérences liées à la filature de certains terroristes fichés au
Maroc et qui évoluaient librement à Madrid dans les réseaux d'Abou
Dahdah, le coordinateur d'Al-Qaïda en Espagne arrêté en 2002. Ce livre
choc, descendu en flammes comme il se doit par la presse marocaine,
livre la thèse majeure que si le Maroc a organisé ou, au mieux, a
laissé faire les attentats de Madrid, c'est qu'il serait le premier à
tirer profit du changement du gouvernement Aznar qui s'est passé le 14
mars au profit de Zapatero, proche des Marocains.
Mounir B.