Lenain
2004-01-13 04:53:31 UTC
...controlent leurs otages emprisonnes a Tindouf par la torture et la
terreur -
En voici une serie de temoignages recueillis des ong et des associations
benevoles et nhumanitaires d'un peu partout dans le monde parus dans
le website : www.sahara-marocain.com sous l'URL suivant
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donations
pour qu'ils continuent a faire souffrir leurs otages a Tindouf sur le sol
algerien
et pour que le conflit s'eternise et pour que les bouchers et les
tortionnaires
s'enrichissent encore plus -
Ah! Si les donateurs pouvaient reflechir seulement une minute ce que font
les
managers du polisario algerien avec l' argent , les dons et les charites
qu'ils
leur envoient a Tindouf !!!
Donateurs, reveillez - vous!! vous faites partie du probleme des "refugies"
et non pas de la solution - Sans votre charite`, ce conflit n'aura pas
dure`
plus d'un an - Priere reflechissez aux nefastes consequences de vos actions
sur le sort des otages , si nobles soient-elles -
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Détournement des aides humanitaires par le Polisario
Publié le : jeudi 25 septembre 2003.
I- Le Phénomène de détournement Depuis plusieurs années, les responsables du
Polisario opèrent de grands détournements de l'aide humanitaire, publique et
privée, octroyée aux populations des campements de Tindouf.
Ces détournements ordonnés par le secrétaire général du Polisario, Mohamed
Abdelaziz, et exécutés suivant ses directives et orientations, ont incité
plusieurs cadres de l'organisation à lui signifier qu'il était inadmissible
de continuer d'exploiter l'aide humanitaire pour son enrichissement
personnel. Une telle pratique constitue un abus de la bonne foi des
organisations humanitaires donatrices.
Les appels de ces cadres ont été vains.
En effet, Mohamed Abdelaziz maintient sa politique de détournement de l'aide
humanitaire dans les directions suivantes :
1- Des centaines de tonnes de denrées, de médicaments et de biens d'
équipement sont régulièrement vendues à travers des filières, dans le sud
algérien ( Tindouf, Bechar, Laabadla, Oum Laassal, Adrar) et dans le nord
mauritanien ( Bir Morgrein, Ain Bentili, Lehfira, Zouerat, Nouaddhibou,
Choum et Atar) et même à Nouakchott.
2- L'intendance de l'armée du Polisario est totalement fournie par l'aide
humanitaire. Les recettes de ces ventes frauduleuses vont dans deux
directions : renflouement des caisses du mouvement pour entretenir son
action diplomatique, politique et militaire. Alimentation des comptes
personnels de Mohamed Abdelaziz et des membres de sa famille (commerçants à
Tindouf, Bechar, Oran, Oum Laassal), ainsi que d'autres dirigeants du
Polisario.
D'autres détournements sont à signaler :
C'est le cas d'importantes sommes d'argent attribuées par des organisations
humanitaires pour l'achat de viande fraîche ou des équipements scolaires et
sanitaires.
Ces sommes sont automatiquement empochées par les membres de la direction du
Polisario et des fausses factures sont fournies aux donateurs, en guise de
justificatifs de dépenses.
Combien de fois des organisations suédoises (Rada Barnen et Sida) ont envoyé
de l'argent en espèce ou sous forme de chèque pour l'achat de viande, mais
cet argent n' a jamais été utilisé pour ce à quoi il était destiné. En
contrepartie, les organisations donatrices ont reçu de fausses factures.
Des sommes touts aussi importantes, destinées à la construction d'écoles ou
de dispensaires, ont été versées dans la caisse du « ministère de la
défense » et en contrepartie, le Polisario montre aux donateurs des
constructions de fortune, bâties par les prisonniers de guerre marocains.
Le détournement par le Polisario de l'aide humanitaire a d'ailleurs été
relevé par la presse algérienne.
Pour mettre fin à une situation, qui est devenue un élément essentiel de la
« morale » de la direction du Polisario, le HCR doit agir pour prendre en
charge l'administration directe de la distribution humanitaire.
En effet, tant que la gestion de cette aide restera entre les mains du
Polisario, ce dernier continuera à en disposer comme bon lui semble, ce qui
est totalement contraire aux objectifs et aux motivations de cette aide
humanitaire.
Cela implique une présence effective d'une administration du HCR dans les
campements des réfugiés, au lieu de gérer cette aide à partir d'un bureau à
Alger.
II- Témoignages
1- L'organisation « Enfants Réfugiés du Monde »
Mme Mireille, Secrétaire Générale de l'Organisation « Enfants Réfugiés du
Monde » avait des doutes en ce qui concerne l'usage de l'argent, octroyé par
son organisation au Polisario, pour les achats de matériel de crèches,
destiné aux enfants des camps de Tindouf.
En effet, elle avait acheté, en 1992, du matériel, en Allemagne et avait
chargé une organisation de ce pays de l'acheminer vers les camps de Tindouf.
Mme Mireille avait attendu jusqu'à ce que ce matériel arrive à destination
et s'est rendue aux campements du Polisario, où elle avait demandé à la
direction générale de l'Education Nationale de lui établir la liste des
besoins en matériel de crèches.
L'ex-directeur général de « l'Education Nationale » au sein du « ministère
de l'Enseignement de la rasd », Baia Mohamed Fadel Agay, alias » Felli »,
lui a répondu que le Polisario avait acheté le matériel dont il avait besoin
et qu'il demandait maintenant à l'organisation « Enfants Réfugiés du Monde »
de lui donner l'argent pour rembourser le matériel acheté.
Mme Mireille était d'accord et a demandé à Agay de lui apporte une facture
pro-forma et quelques échantillons du matériel acheté.
Mohamed Agay lui a naïvement apporté le matériel qu'elle avait elle même
acheté et acheminé vers les campements, par le biais d'une organisation
allemande.
Mme Mireille s'est rendue compte de la mauvaise foi du Polisario concernant
l'aide humanitaire et a, depuis, cessé son aide.
2- Le professeur danois Erik Nielson Revilla
Dans une lettre ouverte, publiée le 29 décembre 1998, par le quotidien
espagnol « ABC », Erik Nielson Revilla, du département de Sociologie de l'
Université de Aarhus (Danemark), a demandé des éclaircissements sur des
malversations commises par l'ONG, « Association des Amis des Enfants
Sahraouis de Cordoue », présidée par Manuel Carrasco et les médecins d'un
hôpital de la Croix Rouge espagnole de cette ville.
Erik Nielson Revilla a souligné que le quotidien de Cordoue avait révélé que
la Caisse d'épargne, dite « Caja Sur » a accordé une aide de 5,5 millions de
pesetas à ladite association destinée à opérer dans un hôpital de la Croix
Rouge, une centaine de jeunes sahraouis présumés victimes de séquelles, de
blessures de guerre et de poliomyélite.
Or, a précisé Revilla, « aucun cas de poliomyélite ou de blessure de guerre
n'a été relevé parmi les enfants sahraouis, ce qui a été confirmé par les
autorités sahraouies et par Cordoue où aucun de ces cas n'a été traité »...
Erik Nielson Revilla a insisté dans sa lettre sur la nécessité d'une réponse
concernant les irrégularités commises ».
3- L'ONG suédoise « Rada Barnen »
Suspectant la destination réelle des aides fournies au Polisario, l'
organisation humanitaire suédoise « Rada Barnen » a dépêché, au mois de
novembre 1993, une délégation à Tindouf pour enquêter sur le sort réservé
aux aides destinées aux populations des campements de Tindouf
L'ONG « Rada Barnen » approvisionne les camps de Tindouf en lait en poudre
et autres produits alimentaires.
4- Les ralliés Ghaoutah Mohamed Ahmed Baba, Ahmed My M'hamed, Mohamed Salem
Khatri et Ghoulam Najem Mouichane :
Ayant regagné récemment le Royaume, les cadres du Polisario, Ghaouta Mohamed
Ahmed Baba, un des Cheikhs qui a participé à l'opération d'identification,
Ahmed Moulay M'hamed dit « Ahmed Chérif », cadre supérieur du service de
sécurité du Polisario, Mohamed Salem Khatri, chef de Daïra
(circonscription)et membre national sahraoui « Parlement »et Ghoulam Najem
Mouichane, ex-représentant du Polisario à Bremen en Allemagne, chargé de la
supervision de l'action des donateurs allemands des aides destinées aux
camps de Tindouf, ont, au cours de conférences de presse à laquelle ont pris
part les représentants des médias nationaux et étrangers, confirmé les
accusations portées tout au long de ces dernières années contre la direction
du Polisario, qui procède qu détournement des aides humanitaires destinées
aux séquestrés des camps de Tindouf.
Dans ce contexte, Ghoulam Najem a déclaré : « durant toute mon action en
Allemagne, j'ai été amené à constater qu'une quantité importante des aides
humanitaires envoyées aux populations des camps de Tindouf par les donateurs
allemands, est systématiquement détournée par les membres de la nomenklatura
du Polisario, qui procèdent à sa vente au sud de l'Algérie et au nord de la
Mauritanie »
Par la suite, il a attiré l'attention sur le fait que le Polisario exploite
de manière indigne les sentiments humanistes et généreux des donateurs
internationaux pour enrichir les membres de sa direction, enrichissement qui
s'effectue au détriment d'une population qui vit dans une situation précaire
et qui demeure maintenue contre son gré dans le désert du sud algérien.
Cette situation d'extrême précarité est confirmée par Mohamed Salem Khatri,
qui a déclaré : « en ma qualité de gestionnaire de lq situation intérieure
des camps de Tindouf, je témoigne que la grande majorité des populations de
ces camps, souhaite quitter au plus vite Lahmada, située dans le sud
algérien et réintégrer leurs foyers au Sahara. ».
5- Bachir Mustapha Sayed, dirigeant du Polisario
Une déclaration des biens faite en 1996 par Bachir Mustapha Sayed, l'un des
dirigeants du Polisario, a « suscité l'irritation des autres membres de la
direction séparatiste » qui ont jugé inopportun une telle initiative,
rapporte le quotidien « Al Alam », citant des « sources informées ».
Dans son éditorial de Vendredi (27/12/7996), « Al Alam » indique que «
Mustapha Sayed, alors coordinateur du Polisario avec la Minurso, a révélé
être le propriétaire d'actions dans des sociétés étrangères, de biens
immobiliers et agricoles et de comptes bancaires, tout en mentionnant les
noms de ces créanciers et de ses partenaires. Son geste s'explique par l'
espoir secret d'amener les autres dirigeants du Polisario à faire de même et
à avouer l'état de leurs fortunes personnelles.
Les mêmes sources ajoutent que les chiffres avancés par Mustapha Sayed
indiquent que ce dernier détient « des preuves sur l'enrichissement illégal
de ses rivaux, dont Mohamed Abdelaziz ».
5- La presse algérienne
M.Hans R.Wittewern délégué de la Fédération Internationale des Croissants
Rouges (FICR) a notamment signalé à la Fédération internationale que « des
fonds destinés au programme sahraoui sous forme d'avances, provenant du PAM
et de la CEE et devant normalement servir à financer le transport et le
dédouanement, sont utilisés à d'autres fins, étant donné l'absence et le
manque de moyens » du Croissant Rouge Algérien.
Le délégué de la Fédération Internationale, qui effectuait une mission à
Alger, avait constaté que des transferts de fonds, provenant du FICR, ont
été utilisés pour combler des découverts apparaissant sur les comptes du
Croissant Rouge Algérien et que des devises, débloquées par la Fédération
Internationale, ont servi à payer des billets d'avion pour l'étranger.
Il s'agit, là, d'un rapport du délégué de la Fédération Internationale,
établi le 23 septembre 1992, au terme d'une mission à Alger, auprès du
Croissant Rouge Algérien, et dont le journal « El Watan » en a publié le
contenu, sous le titre « Croissant Rouge Algérien, un rapport accablant ».
Le délégué de la Fédération Internationale effectuait un déplacement à
Alger, à la suite d'une demande d'aide d'une demande d'aide du Croissant
Rouge Algérien, destinée aux populations étrangères réfugiées dans le sud du
pays. La fédération devait débloquer en faveur du « CRA » une enveloppe d'un
milliard de centimes en devises. Lors de son voyage, le délégué
international était porteur d'une avance de un million deux cent mille
francs suisses, mais on ignore si cette somme avait été versée au « CRA ».
Point de divergence essentielle : la Fédération Internationale a refusé que
ses fonds soient inscrits et versés aux comptes du « CRA », et ont exigé l'
ouverture d'un compte , selon le journal algérien. Aussi, les fonds n'
avaient-ils pas été débloqués. Bien que cette aide soit destinée aux
populations réfugiées sur le territoire algérien, le journal « Al Watan » y
voit tout de même une perte pour l'Algérie.
Le journal précise que « dans le cadre du recouvrement de ces frais qui se
fait par le biais d'une opération dite de monétisation, consistant en la
vente d'une partie des produits sur le marché jusqu'à concurrence du montant
nécessaire, seules 40 tonnes de spaghettis ont été autorisées à la vente par
l 'inspection régionale des enquêtes économiques d'Oran, alors que le reste
de la marchandise (670 tonnes) n' a pas fait l'objet de contrôle en dépit de
deux convocations envoyées dans ce sens au « CRA ».
La même source ajoute que « ces centaines de tonnes qui étaient déposées à l
'entrepôt de l'ENAPAL, sur la route d'Es-Sania, se sont volatilisées dans la
nature et une enquête policière a été ouverte au niveau de la Daïra de Oued
Tlelat, distante de 25 Km d'Oran pour retrouver cette marchandise perdue ».
« El Watan » signale que « des pâtes alimentaires, expédiées par le
gouvernement et le peuple italiens, sont écoulés sur les marchés d'Alger et
même sur les trottoirs, à raison de 35 Dinars la livre. Sur l'emballage du
produit, il est indiqué en italien et en arabe que ces spaghettis
constituent un don du gouvernement et du peuple italiens.
« Le même emballage porte aussi une étiquette sur laquelle sont mentionnées
uniquement les initiales de la présumée entreprise qui commercialise ces
dons avec comme adresse, 44 rue Lanceb, Es-Senia, Oran », relève « Al
Watan ».
6- « El Pais » :
« Une aide humanitaire de 64 millions de Pesetas, qui a été remise par la
Croix Rouge Espagnole au Polisario pour l'achat de 430 chamelles, a disparu
sans laisser de traces », avait rapporté dimanche (7/3/99), le quotidien «
El Pais », citant un vétérinaire chargé du suivi de ce programme.
Tentant d'éviter le scandale et de faire croire à l'exécution de l'
opération, les dirigeants du Polisario ont organisé une opération d'achat,
mais « de chamelles qui leur appartenaient », indique le quotidien espagnol,
précisant que le responsable de la coopération de la prétendue « Rasd »,
Embarek Malainine, « n'a pas démenti l'accusation ».
D'après le journal, les responsables espagnols chargés du suivi de ce
programme, n'ont pas voulu rendre public « leurs soupçons sur ce
détournement », évitant ainsi d'en informer les co-financiers et les médias.
Une partie de ces fonds a été réunie grâce à la collecte de dons à travers
une émission télévisée présentée en direct, en décembre 1995, sur la
première chaîne espagnole, « Victimes de conflits oubliés »( 19 millions de
Pesetas). Le reste a été fourni par l'Agence de Coopération Internationale,
relevant du ministère espagnol des Affaires Extérieures ( 20,6 millions de
Pesetas) et de Las Palmas (6,33 millions de Pesetas).
La Croix Rouge espagnole a été chargée de réaliser le programme d'achat de
430 chamelles pour l'amélioration du régime alimentaire en viande et en lait
des femmes, des personnes âgées et des enfants des camps de Tindouf. Elle a
remis 61 millions de Pesetas au « Croissant Rouge sahraoui », « une
organisation qui n'est pas reconnue sur le plan international », rappelle
« El Pais ».
7- Le Front Populaire Pour l'Indépendance des Canaries ( FREPIC-AWANAC)
Le « FREPIC-AWANAC » a publié, le 1er octobre 2000, un communiqué faisant
état « d'informations sur les présumés irrégularités dans la gestion de l'
aide humanitaire, destinée à une partie de la communauté sahraouie et de la
participation active du Conseil de Gran Canaria dans la campagne de
propagande du polisario en Espagne. Pour cela, il a demandé à la présidence
de ce conseil, Maria Eugenia Garcia Marquez, également dirigeante du Parti
Populaire (au pouvoir), d'informer la société des Iles Canaries de ces
faits.
Le FREPIC a réclamé des explications au sujet d'informations, selon
lesquelles, la présidence du Conseil municipal de Gran canaria aurait acquis
une villa au profit de Mohamed Abdelaziz ou du Polisario dans l'Île pour un
montant de 52 millions de Pesetas, puisé dans les subventions en faveur de
la communauté sahraouie, installée en Algérie.
De même, le FREPIC s'interroge sur les mesures adoptées en rapport avec le
présumé détournement de l'aide humanitaire accordée par les institutions des
Iles Canaries pour soutenir les activités de guerre au sahara.
Le Front canarien pour l'indépendance se demande pourquoi la Municipalité de
Gran Canaria a décidé d'appuyer officiellement la participation à New York,
de dirigeants politiques du pacte de coalition Iles Canaries-Front Populaire
aux travaux de la commission des questions politiques spéciales de la
décolonisation sur le Sahara, en la personne du Vice-Président et Conseiller
à la Solidarité, Carmelo Ramirez, pour appuyer le Polisario.
Le FREPIC révèle que le déplacement de ce responsable a été financé par des
fonds publics et à partir de l'aide humanitaire initialement destinée à
ladite communauté et à des associations sociales et culturelles auxquelles a
été refusée une telle subvention pour financer leurs activité.
terreur -
En voici une serie de temoignages recueillis des ong et des associations
benevoles et nhumanitaires d'un peu partout dans le monde parus dans
le website : www.sahara-marocain.com sous l'URL suivant
======================
UN agencies seek funds to help malnourished refugees in Western
Sahara
UN News Centre
19 Dec. 2003
United Nations food and refugee agencies today urgently appealed for
funds to help tens of thousands of Western Saharan refugees
suffering from acute and chronic malnutrition.
Decouvrez ci-dessus a qui les ONG et les philantropes envoient leursSahara
UN News Centre
19 Dec. 2003
United Nations food and refugee agencies today urgently appealed for
funds to help tens of thousands of Western Saharan refugees
suffering from acute and chronic malnutrition.
donations
pour qu'ils continuent a faire souffrir leurs otages a Tindouf sur le sol
algerien
et pour que le conflit s'eternise et pour que les bouchers et les
tortionnaires
s'enrichissent encore plus -
Ah! Si les donateurs pouvaient reflechir seulement une minute ce que font
les
managers du polisario algerien avec l' argent , les dons et les charites
qu'ils
leur envoient a Tindouf !!!
Donateurs, reveillez - vous!! vous faites partie du probleme des "refugies"
et non pas de la solution - Sans votre charite`, ce conflit n'aura pas
dure`
plus d'un an - Priere reflechissez aux nefastes consequences de vos actions
sur le sort des otages , si nobles soient-elles -
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Détournement des aides humanitaires par le Polisario
Publié le : jeudi 25 septembre 2003.
I- Le Phénomène de détournement Depuis plusieurs années, les responsables du
Polisario opèrent de grands détournements de l'aide humanitaire, publique et
privée, octroyée aux populations des campements de Tindouf.
Ces détournements ordonnés par le secrétaire général du Polisario, Mohamed
Abdelaziz, et exécutés suivant ses directives et orientations, ont incité
plusieurs cadres de l'organisation à lui signifier qu'il était inadmissible
de continuer d'exploiter l'aide humanitaire pour son enrichissement
personnel. Une telle pratique constitue un abus de la bonne foi des
organisations humanitaires donatrices.
Les appels de ces cadres ont été vains.
En effet, Mohamed Abdelaziz maintient sa politique de détournement de l'aide
humanitaire dans les directions suivantes :
1- Des centaines de tonnes de denrées, de médicaments et de biens d'
équipement sont régulièrement vendues à travers des filières, dans le sud
algérien ( Tindouf, Bechar, Laabadla, Oum Laassal, Adrar) et dans le nord
mauritanien ( Bir Morgrein, Ain Bentili, Lehfira, Zouerat, Nouaddhibou,
Choum et Atar) et même à Nouakchott.
2- L'intendance de l'armée du Polisario est totalement fournie par l'aide
humanitaire. Les recettes de ces ventes frauduleuses vont dans deux
directions : renflouement des caisses du mouvement pour entretenir son
action diplomatique, politique et militaire. Alimentation des comptes
personnels de Mohamed Abdelaziz et des membres de sa famille (commerçants à
Tindouf, Bechar, Oran, Oum Laassal), ainsi que d'autres dirigeants du
Polisario.
D'autres détournements sont à signaler :
C'est le cas d'importantes sommes d'argent attribuées par des organisations
humanitaires pour l'achat de viande fraîche ou des équipements scolaires et
sanitaires.
Ces sommes sont automatiquement empochées par les membres de la direction du
Polisario et des fausses factures sont fournies aux donateurs, en guise de
justificatifs de dépenses.
Combien de fois des organisations suédoises (Rada Barnen et Sida) ont envoyé
de l'argent en espèce ou sous forme de chèque pour l'achat de viande, mais
cet argent n' a jamais été utilisé pour ce à quoi il était destiné. En
contrepartie, les organisations donatrices ont reçu de fausses factures.
Des sommes touts aussi importantes, destinées à la construction d'écoles ou
de dispensaires, ont été versées dans la caisse du « ministère de la
défense » et en contrepartie, le Polisario montre aux donateurs des
constructions de fortune, bâties par les prisonniers de guerre marocains.
Le détournement par le Polisario de l'aide humanitaire a d'ailleurs été
relevé par la presse algérienne.
Pour mettre fin à une situation, qui est devenue un élément essentiel de la
« morale » de la direction du Polisario, le HCR doit agir pour prendre en
charge l'administration directe de la distribution humanitaire.
En effet, tant que la gestion de cette aide restera entre les mains du
Polisario, ce dernier continuera à en disposer comme bon lui semble, ce qui
est totalement contraire aux objectifs et aux motivations de cette aide
humanitaire.
Cela implique une présence effective d'une administration du HCR dans les
campements des réfugiés, au lieu de gérer cette aide à partir d'un bureau à
Alger.
II- Témoignages
1- L'organisation « Enfants Réfugiés du Monde »
Mme Mireille, Secrétaire Générale de l'Organisation « Enfants Réfugiés du
Monde » avait des doutes en ce qui concerne l'usage de l'argent, octroyé par
son organisation au Polisario, pour les achats de matériel de crèches,
destiné aux enfants des camps de Tindouf.
En effet, elle avait acheté, en 1992, du matériel, en Allemagne et avait
chargé une organisation de ce pays de l'acheminer vers les camps de Tindouf.
Mme Mireille avait attendu jusqu'à ce que ce matériel arrive à destination
et s'est rendue aux campements du Polisario, où elle avait demandé à la
direction générale de l'Education Nationale de lui établir la liste des
besoins en matériel de crèches.
L'ex-directeur général de « l'Education Nationale » au sein du « ministère
de l'Enseignement de la rasd », Baia Mohamed Fadel Agay, alias » Felli »,
lui a répondu que le Polisario avait acheté le matériel dont il avait besoin
et qu'il demandait maintenant à l'organisation « Enfants Réfugiés du Monde »
de lui donner l'argent pour rembourser le matériel acheté.
Mme Mireille était d'accord et a demandé à Agay de lui apporte une facture
pro-forma et quelques échantillons du matériel acheté.
Mohamed Agay lui a naïvement apporté le matériel qu'elle avait elle même
acheté et acheminé vers les campements, par le biais d'une organisation
allemande.
Mme Mireille s'est rendue compte de la mauvaise foi du Polisario concernant
l'aide humanitaire et a, depuis, cessé son aide.
2- Le professeur danois Erik Nielson Revilla
Dans une lettre ouverte, publiée le 29 décembre 1998, par le quotidien
espagnol « ABC », Erik Nielson Revilla, du département de Sociologie de l'
Université de Aarhus (Danemark), a demandé des éclaircissements sur des
malversations commises par l'ONG, « Association des Amis des Enfants
Sahraouis de Cordoue », présidée par Manuel Carrasco et les médecins d'un
hôpital de la Croix Rouge espagnole de cette ville.
Erik Nielson Revilla a souligné que le quotidien de Cordoue avait révélé que
la Caisse d'épargne, dite « Caja Sur » a accordé une aide de 5,5 millions de
pesetas à ladite association destinée à opérer dans un hôpital de la Croix
Rouge, une centaine de jeunes sahraouis présumés victimes de séquelles, de
blessures de guerre et de poliomyélite.
Or, a précisé Revilla, « aucun cas de poliomyélite ou de blessure de guerre
n'a été relevé parmi les enfants sahraouis, ce qui a été confirmé par les
autorités sahraouies et par Cordoue où aucun de ces cas n'a été traité »...
Erik Nielson Revilla a insisté dans sa lettre sur la nécessité d'une réponse
concernant les irrégularités commises ».
3- L'ONG suédoise « Rada Barnen »
Suspectant la destination réelle des aides fournies au Polisario, l'
organisation humanitaire suédoise « Rada Barnen » a dépêché, au mois de
novembre 1993, une délégation à Tindouf pour enquêter sur le sort réservé
aux aides destinées aux populations des campements de Tindouf
L'ONG « Rada Barnen » approvisionne les camps de Tindouf en lait en poudre
et autres produits alimentaires.
4- Les ralliés Ghaoutah Mohamed Ahmed Baba, Ahmed My M'hamed, Mohamed Salem
Khatri et Ghoulam Najem Mouichane :
Ayant regagné récemment le Royaume, les cadres du Polisario, Ghaouta Mohamed
Ahmed Baba, un des Cheikhs qui a participé à l'opération d'identification,
Ahmed Moulay M'hamed dit « Ahmed Chérif », cadre supérieur du service de
sécurité du Polisario, Mohamed Salem Khatri, chef de Daïra
(circonscription)et membre national sahraoui « Parlement »et Ghoulam Najem
Mouichane, ex-représentant du Polisario à Bremen en Allemagne, chargé de la
supervision de l'action des donateurs allemands des aides destinées aux
camps de Tindouf, ont, au cours de conférences de presse à laquelle ont pris
part les représentants des médias nationaux et étrangers, confirmé les
accusations portées tout au long de ces dernières années contre la direction
du Polisario, qui procède qu détournement des aides humanitaires destinées
aux séquestrés des camps de Tindouf.
Dans ce contexte, Ghoulam Najem a déclaré : « durant toute mon action en
Allemagne, j'ai été amené à constater qu'une quantité importante des aides
humanitaires envoyées aux populations des camps de Tindouf par les donateurs
allemands, est systématiquement détournée par les membres de la nomenklatura
du Polisario, qui procèdent à sa vente au sud de l'Algérie et au nord de la
Mauritanie »
Par la suite, il a attiré l'attention sur le fait que le Polisario exploite
de manière indigne les sentiments humanistes et généreux des donateurs
internationaux pour enrichir les membres de sa direction, enrichissement qui
s'effectue au détriment d'une population qui vit dans une situation précaire
et qui demeure maintenue contre son gré dans le désert du sud algérien.
Cette situation d'extrême précarité est confirmée par Mohamed Salem Khatri,
qui a déclaré : « en ma qualité de gestionnaire de lq situation intérieure
des camps de Tindouf, je témoigne que la grande majorité des populations de
ces camps, souhaite quitter au plus vite Lahmada, située dans le sud
algérien et réintégrer leurs foyers au Sahara. ».
5- Bachir Mustapha Sayed, dirigeant du Polisario
Une déclaration des biens faite en 1996 par Bachir Mustapha Sayed, l'un des
dirigeants du Polisario, a « suscité l'irritation des autres membres de la
direction séparatiste » qui ont jugé inopportun une telle initiative,
rapporte le quotidien « Al Alam », citant des « sources informées ».
Dans son éditorial de Vendredi (27/12/7996), « Al Alam » indique que «
Mustapha Sayed, alors coordinateur du Polisario avec la Minurso, a révélé
être le propriétaire d'actions dans des sociétés étrangères, de biens
immobiliers et agricoles et de comptes bancaires, tout en mentionnant les
noms de ces créanciers et de ses partenaires. Son geste s'explique par l'
espoir secret d'amener les autres dirigeants du Polisario à faire de même et
à avouer l'état de leurs fortunes personnelles.
Les mêmes sources ajoutent que les chiffres avancés par Mustapha Sayed
indiquent que ce dernier détient « des preuves sur l'enrichissement illégal
de ses rivaux, dont Mohamed Abdelaziz ».
5- La presse algérienne
M.Hans R.Wittewern délégué de la Fédération Internationale des Croissants
Rouges (FICR) a notamment signalé à la Fédération internationale que « des
fonds destinés au programme sahraoui sous forme d'avances, provenant du PAM
et de la CEE et devant normalement servir à financer le transport et le
dédouanement, sont utilisés à d'autres fins, étant donné l'absence et le
manque de moyens » du Croissant Rouge Algérien.
Le délégué de la Fédération Internationale, qui effectuait une mission à
Alger, avait constaté que des transferts de fonds, provenant du FICR, ont
été utilisés pour combler des découverts apparaissant sur les comptes du
Croissant Rouge Algérien et que des devises, débloquées par la Fédération
Internationale, ont servi à payer des billets d'avion pour l'étranger.
Il s'agit, là, d'un rapport du délégué de la Fédération Internationale,
établi le 23 septembre 1992, au terme d'une mission à Alger, auprès du
Croissant Rouge Algérien, et dont le journal « El Watan » en a publié le
contenu, sous le titre « Croissant Rouge Algérien, un rapport accablant ».
Le délégué de la Fédération Internationale effectuait un déplacement à
Alger, à la suite d'une demande d'aide d'une demande d'aide du Croissant
Rouge Algérien, destinée aux populations étrangères réfugiées dans le sud du
pays. La fédération devait débloquer en faveur du « CRA » une enveloppe d'un
milliard de centimes en devises. Lors de son voyage, le délégué
international était porteur d'une avance de un million deux cent mille
francs suisses, mais on ignore si cette somme avait été versée au « CRA ».
Point de divergence essentielle : la Fédération Internationale a refusé que
ses fonds soient inscrits et versés aux comptes du « CRA », et ont exigé l'
ouverture d'un compte , selon le journal algérien. Aussi, les fonds n'
avaient-ils pas été débloqués. Bien que cette aide soit destinée aux
populations réfugiées sur le territoire algérien, le journal « Al Watan » y
voit tout de même une perte pour l'Algérie.
Le journal précise que « dans le cadre du recouvrement de ces frais qui se
fait par le biais d'une opération dite de monétisation, consistant en la
vente d'une partie des produits sur le marché jusqu'à concurrence du montant
nécessaire, seules 40 tonnes de spaghettis ont été autorisées à la vente par
l 'inspection régionale des enquêtes économiques d'Oran, alors que le reste
de la marchandise (670 tonnes) n' a pas fait l'objet de contrôle en dépit de
deux convocations envoyées dans ce sens au « CRA ».
La même source ajoute que « ces centaines de tonnes qui étaient déposées à l
'entrepôt de l'ENAPAL, sur la route d'Es-Sania, se sont volatilisées dans la
nature et une enquête policière a été ouverte au niveau de la Daïra de Oued
Tlelat, distante de 25 Km d'Oran pour retrouver cette marchandise perdue ».
« El Watan » signale que « des pâtes alimentaires, expédiées par le
gouvernement et le peuple italiens, sont écoulés sur les marchés d'Alger et
même sur les trottoirs, à raison de 35 Dinars la livre. Sur l'emballage du
produit, il est indiqué en italien et en arabe que ces spaghettis
constituent un don du gouvernement et du peuple italiens.
« Le même emballage porte aussi une étiquette sur laquelle sont mentionnées
uniquement les initiales de la présumée entreprise qui commercialise ces
dons avec comme adresse, 44 rue Lanceb, Es-Senia, Oran », relève « Al
Watan ».
6- « El Pais » :
« Une aide humanitaire de 64 millions de Pesetas, qui a été remise par la
Croix Rouge Espagnole au Polisario pour l'achat de 430 chamelles, a disparu
sans laisser de traces », avait rapporté dimanche (7/3/99), le quotidien «
El Pais », citant un vétérinaire chargé du suivi de ce programme.
Tentant d'éviter le scandale et de faire croire à l'exécution de l'
opération, les dirigeants du Polisario ont organisé une opération d'achat,
mais « de chamelles qui leur appartenaient », indique le quotidien espagnol,
précisant que le responsable de la coopération de la prétendue « Rasd »,
Embarek Malainine, « n'a pas démenti l'accusation ».
D'après le journal, les responsables espagnols chargés du suivi de ce
programme, n'ont pas voulu rendre public « leurs soupçons sur ce
détournement », évitant ainsi d'en informer les co-financiers et les médias.
Une partie de ces fonds a été réunie grâce à la collecte de dons à travers
une émission télévisée présentée en direct, en décembre 1995, sur la
première chaîne espagnole, « Victimes de conflits oubliés »( 19 millions de
Pesetas). Le reste a été fourni par l'Agence de Coopération Internationale,
relevant du ministère espagnol des Affaires Extérieures ( 20,6 millions de
Pesetas) et de Las Palmas (6,33 millions de Pesetas).
La Croix Rouge espagnole a été chargée de réaliser le programme d'achat de
430 chamelles pour l'amélioration du régime alimentaire en viande et en lait
des femmes, des personnes âgées et des enfants des camps de Tindouf. Elle a
remis 61 millions de Pesetas au « Croissant Rouge sahraoui », « une
organisation qui n'est pas reconnue sur le plan international », rappelle
« El Pais ».
7- Le Front Populaire Pour l'Indépendance des Canaries ( FREPIC-AWANAC)
Le « FREPIC-AWANAC » a publié, le 1er octobre 2000, un communiqué faisant
état « d'informations sur les présumés irrégularités dans la gestion de l'
aide humanitaire, destinée à une partie de la communauté sahraouie et de la
participation active du Conseil de Gran Canaria dans la campagne de
propagande du polisario en Espagne. Pour cela, il a demandé à la présidence
de ce conseil, Maria Eugenia Garcia Marquez, également dirigeante du Parti
Populaire (au pouvoir), d'informer la société des Iles Canaries de ces
faits.
Le FREPIC a réclamé des explications au sujet d'informations, selon
lesquelles, la présidence du Conseil municipal de Gran canaria aurait acquis
une villa au profit de Mohamed Abdelaziz ou du Polisario dans l'Île pour un
montant de 52 millions de Pesetas, puisé dans les subventions en faveur de
la communauté sahraouie, installée en Algérie.
De même, le FREPIC s'interroge sur les mesures adoptées en rapport avec le
présumé détournement de l'aide humanitaire accordée par les institutions des
Iles Canaries pour soutenir les activités de guerre au sahara.
Le Front canarien pour l'indépendance se demande pourquoi la Municipalité de
Gran Canaria a décidé d'appuyer officiellement la participation à New York,
de dirigeants politiques du pacte de coalition Iles Canaries-Front Populaire
aux travaux de la commission des questions politiques spéciales de la
décolonisation sur le Sahara, en la personne du Vice-Président et Conseiller
à la Solidarité, Carmelo Ramirez, pour appuyer le Polisario.
Le FREPIC révèle que le déplacement de ce responsable a été financé par des
fonds publics et à partir de l'aide humanitaire initialement destinée à
ladite communauté et à des associations sociales et culturelles auxquelles a
été refusée une telle subvention pour financer leurs activité.